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Une étude sur le cancer a révélé que 3 femmes sur 4 qui ont un cancer du sein, portent régulièrement un soutien-gorge contre 1 femme sur 168 chez celles qui n’en portent pas du tout.
Le risque d’avoir un cancer du sein est donc 125 fois supérieur si l’on porte un soutien-gorge. Porter un soutien-gorge donnerait donc 12 fois plus de risques de cancer que de fumer (et la plupart des fumeuses portent un soutien-gorge).
Soutien-gorge et circulation lymphatique
Une très récente étude menée par deux médecins anthropologues, met à nouveau en évidence le lien entre le port du soutien-gorge et le cancer du sein. Le soutien-gorge compressant les divers ganglions et canaux lymphatiques, les toxines ne sont plus éliminées naturellement par le drainage lymphatique, et s’accumulent dans le sein faisant apparaître au fil du temps, kystes, fibrokystes et tumeurs cancéreuses.
Les capillaires lymphatiques sont sous cutanés et microscopiques. Leur compression se fait par simple pression et empêche la lymphe chargée de déchets d’aller se déverser dans les vaisseaux ou même dans les ganglions. Cette lymphe devient alors stagnante, les toxines qu’elle n’a pas pu évacuer feront des dégâts sur place. Les soutiens-gorge plus ou moins serrés par leurs élastiques, leurs armatures ou par leurs bonnets qui remontent les seins compriment ces capillaires et vaisseaux lymphatiques, bloquant toute circulation.
En outre, les soutiens-gorge par leur tissu enveloppant les seins et par la compression exercée sur eux augmentent sensiblement leur température. Ceci a été prouvé par des études thermographiques. On sait qu’un sein précancéreux ou cancéreux est plus chaud qu’un sein non cancéreux.
Le massage naturel du sein libre
Le mouvement naturel du sein libre, pendant la marche, crée normalement un massage qui fait circuler la lymphe. Lorsque ce mouvement naturel est entravé, la lymphe ne circule plus, les toxines s’accumulent et les kystes et tumeurs apparaissent
Certains pays (Japon, Provinces de l’Inde, Fidji, Maoris…) n’hésitent pas à faire des campagnes pour un retour aux vêtements traditionnels seins libres, depuis l’apparition du cancer du sein avec l’adoption de la mode occidentale. En effet, les femmes vivant à la mode occidentale dans ces pays développent des cancers pendant que les autres qui vivent seins libres, de façon traditionnelle, n’en développent pas.
Le saviez-vous ?
Porter un soutien-gorge trop serré favorise les risques de cancer du sein, Les sous-vêtements synthétiques sont mis en cause dans l’infertilité chez l’homme, les colorants de textile sont les principaux responsables de la dermatite de contact, les vêtements antitaches peuvent perturber le système endocrinien, les fibres de certains vêtements de sport fatiguent les muscles et sont susceptibles de réduire les avantages concurrentiels des athlètes…
Aucun test adéquat n’a été réalisé pour vérifier si les tissus contenant des éléments tels que des insecticides et des métaux, sont sans danger après un contact prolongé avec la peau. Les tissus fabriqués par l’homme comme le nylon, le Spandex, le Téflon ont remplacé le coton, la laine et la soie au cours du siècle dernier.
Par ailleurs, on remarque une augmentation importante des problèmes de santé qui seraient liés au port de vêtements synthétiques : infertilité, troubles respiratoires, maladies de la peau et certains cancers.
Comment choisir vos vêtements et vous méfier de certains tissus et éléments chimiques ;
Comment identifier les tissus synthétiques nocifs ;
Pourquoi éviter certains tissus même s’ils sont annoncés sans risque : antibactérien, antimicrobien, antistatique, anti-odeur, non inflammable, infroissable ou antitache ;
Comment nettoyer vos vêtements de façon écologique sans nuire à la santé.
Paru début juin 2012, le livre « Ces vêtements qui nous tuent » du Dr. Anna-Maria Clement et du Dr. Brian Clement attire notre attention sur le probable lien de cause à effet entre les vêtements que nous portons et certains troubles pathologies en perpétuelle augmentation. Il montre les nombreuses manières dont les vêtements synthétiques, les produits chimiques ajoutés aux vêtements, les vêtements trop ajustés et les souliers serrés causent des problèmes de santé aigus.
La conclusion du Docteur Susan LOVE :
Pour le docteur Susan Love, auteure de livres sur le cancer du sein et directrice d’une Fondation de recherche sur le cancer du sein, en Californie, interrogée par la revue « Scientific american », « le mythe du soutien-gorge vient de la frustration de ne pas savoir ce qui cause la maladie, associée à un désir que celle-ci vienne de l’extérieur, d’un élément qu’une femme pourrait contrôler. Vous trouvez désormais des gens moins désireux de penser à la pilule contraceptive, au traitement hormonal de substitution et aux médicaments pour la fertilité qu’aux pesticides, aux soutiens-gorges et aux déodorants. »
Voir aussi une des réponses à cette controverse (traduction approximative à l’aide de Google-Traduction) :
*** la réponse anti-scientifique de la très importante soutien-gorge / cancer controverse. Il y avait une étude qui est sorti de Harvard en 1991 montrant soutien-gorge sans femmes présentaient un taux beaucoup plus faible de cancer du sein. (Eur J Cancer 1991 ; 27. (2) :131-5).
Et même l’« American Cancer Society » est révélateur post-mastectomie femmes d’éviter les soutiens-gorge serrés car ils causent un lymphœdème. Il n’y a pas encore de la recherche qui a été fait pour réfuter cette théorie, que le rejet hors du brassard par des experts dont les théories et les pratiques personnelles sont maintenant remis en question.
Davantage de recherches sur le lien Soutien-gorge / le cancer est clairement nécessaire. Mais elle conteste l’industrie du cancer axée sur le traitement, et de l’industrie Soutien-gorge procès-craindre
Heureusement, les femmes n’ont pas besoin d’une ordonnance de cesser de porter soutien-gorge.
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