« C’est aux tchadiens de décider qui sera président ». C’est par ces mots que le chef de la junte a mis fin aux derniers espoirs de ceux qui croient encore à des élections libres et transparentes à l’issu de la transition. Nous sommes donc bien partis pour une succession dynastique avec le soutien de la France, des politico-militaires traîtres et des partis alimentaires.