La mort tragique de notre camarade prisonnier de guerre du FACT, Hassan Ousman Dabouga, des suites de mauvais traitements en prison pendant le mois saint de Ramadan est un scandale odieux. Cela illustre clairement l’atrocité de la dictature en place qui continue d’exécuter froidement les prisonniers du FACT, cinq mois après la fin du pseudo-dialogue inclusif.
Cette mort ignoble est un exemple supplémentaire de la cruauté et de la barbarie du régime en place, qui se livre à des pratiques inhumaines contre ses opposants politiques. Nous exigeons la libération immédiate de tous les prisonniers politiques du FACT, ainsi que la fin de la répression brutale qui sévit dans le pays.
Nous ne permettrons pas que le martyr de notre défunt camarade soit vain. Nous continuerons à lutter pour la liberté et la justice, et nous mettrons tout en œuvre pour faire entendre notre voix au niveau national et international. La mort de Hassan Ousman Dabouga restera gravée dans notre mémoire collective, et nous nous battrons pour que plus jamais une telle tragédie ne se produise.
Nous exprimons nos plus sincères condoléances à sa famille et à ses proches, et nous leur assurons notre solidarité indéfectible dans cette période difficile. Ensemble, nous continuerons de défendre les droits de l’homme et de lutter pour un Tchad libre et démocratique.
Charfadine Galmaye.